- Phoibe O'Neill
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Date d'inscription : 18/09/2021
Phoibe O'Neill • aventurière volatile
Phoibe O'Neill
37 ans • 14/01/1984 • F • 1m83 • Yeux : bleu clair • Cheveux : bruns, courts, ne touchant pas ses épaules et légèrement ondulés • Corpulence : sportiveAgent de sécurité à la D.W.I Academy
• Téméraire : est-ce une mauvaise idée ? Certainement, donc c’est une excellente raison de le faire. Phoibe adore l’adrénaline et le danger, c’est une casse-cou.
• Fière : elle a des valeurs, les défends et peut mettre les deux pieds dans le plat, simplement pour le principe de…
• Protectrice : ce que Phoibe aime, elle le défend bec et ongle. Par nature, elle aura toujours tendance à aider son prochain dans le besoin ou plus faible qu’elle. Cet aspect altruiste de sa personnalité a guidé bien des choix.
• Observatrice : elle a toujours su tirer le meilleur parti de son environnement, la survie, ça passe par là.
• Réfléchie : il ne suffit pas de regarder, encore faut-il réfléchir et analyser. Elle est capable de réfléchir vite ou longuement, selon la situation qui se présente.
• Active : Phoibe aime bouger et se dépenser. Elle n’aime pas l’inaction et a toujours de quoi s’occuper. Certainement, parce que lorsqu’on est occupé, on ne peut pas trop penser au fond des choses.
• Volontaire : la volonté de bien faire, elle l’a, mais celle qui la caractérise le plus c'est son mental inflexible. La survie, c’est le mental, et c’est sûr qu’elle en possède à la pelle.
• Curieuse : c’est ce qui permet d’apprendre, à priori, elle a bien appris et continue de le faire, s’intéressant à beaucoup de choses.
• Impulsive : parce que bon, personne n’est parfait, même à son âge, elle reste passablement irréfléchie. Eh. Il vaut mieux demander pardon, dit le dicton.
• Contrastée : elle est contrariée et faite de contrariété, au fond, elle n’a jamais pu être elle-même et c’est un sacré nœud à l’intérieur.
Survivaliste
Effets : dès son enfance Phoibe n'a jamais été très malade ou blessée. Ce qui a d'abord été mis sur le compte de la chance, s'est révélé être en réalité une capacité hors norme. Elle cicatrise en moins de deux, elle n'attrape pas froid, ne fait pas d'intoxication alimentaire et parvient à diminuer ou annihiler les poisons qu'on lui injecterait : son corps et son système immunitaire sont surboostés.
Durée et utilisation : elle n'a jamais vraiment tenté de tester la limite de ce pouvoir. Adolescente, elle n'a traversé aucune tendance auto-mutilatirices. D'ailleurs, qui aurait envie de se blesser volontairement juste pour voir si ça guérit ? Le second point étant qu'elle n'a aucune maîtrise sur ce don. Son système immunitaire et son corps fonctionnent de manière tout à fait autonome. Ce qui semble plutôt logique. Elle a tenté (discrètement) de guérir d’autres personnes qu’elle, mais ça n’est absolument pas transmissible. Les blessures étant de nature différente, il est compliqué de quantifier précisément. De manière générale, pour donner un ordre d'idée : il lui faudra plusieurs jours pour réparer une fracture, il ne lui faut qu'une seule nuit pour effacer une coupure, il lui faudra plusieurs jours pour guérir d'une brûlure au 3e degré, il lui suffira d'une sieste pour une légère. Le processus est long et progressif, une coupure commence sa guérison accélérée, donc au bout d'un moment ça va déjà mieux et elle aura totalement disparu à l'issue du délai. Si elle a un peu mal partout à cause du sport, une nuit suffira, si elle s'est déchiré un muscle, il lui faudra deux jours, cependant, après le premier jour, son état se sera déjà amélioré... Elle a donc imaginé qu'en cas de blessure très grave, cela pourrait lui prendre des semaines. Si elle est dans le coma, il vaut mieux qu'elle soit hospitalisée pour accélérer sa guérison. Sans perfusion et aide extérieur, son corps se débrouillera, mais plus lentement. Heureusement, elle n'a jamais eu à expérimenter ce dernier point.
Limites et contrecoups : on aurait pu croire qu'il était merveilleux de vivre dans sa peau, mais la réalité est assez différente. Tout d'abord, elle n'est pas immortelle, ni plus résistante qu’un humain ordinaire. Si on lui tranche une artère, elle se videra de son sang comme tout un chacun, peut-être un peu moins vite de quelques secondes, mais la finalité sera la même.
Sa peau ne se referme pas miraculeusement, cela prend tout de même plusieurs heures. Plus la blessure est grave, plus elle prendra de temps à guérir, naturellement. Elle n'est pas exempte de douleur et souffre même de douleurs fantômes malgré une guérison totale. Elle a constaté cela en se cassant une jambe. Bien qu'elle puisse marcher et vivre comme si rien ne s'était produit, chaque fois qu'elle posait le pied, de vives douleurs venaient parasiter son système nerveux. Avec le temps, elle a appris à conjurer légèrement cet effet, en tout cas pour les petites blessures. Son cerveau, qui trouve tout cela bien étrange, n'est toutefois pas très collaborant dans son éducation. Cet apprentissage représente un défi de longue haleine.
Si la blessure est très importante, elle ne pourra la soigner qu'en étant endormie. Ce qui se traduit parfois par une belle syncope. C'est ce qui lui était arrivé avec sa jambe. C’est certainement ce point qui est le plus problématique. En effet, il peut s'avérer catastrophique en fonction de l'endroit où on se trouve et avec qui. En apparence, elle a toujours prétexté avoir une tension un peu basse et être sujette aux malaises vagaux. Ses parents, eux, ont au début pensé que leur enfant ne supportait pas la douleur en la voyant s'évanouir pour un rien. Une tête dans la fenêtre, un scratch sur le genou et c'était extinction des feux. Heureusement, avec l'âge, cette tendance à légèrement reculé et tout comme les douleurs fantômes, elle ne perd connaissance que pour des atteintes plus graves. Les blessures légères occasionneront tout de même une fatigue conséquente. Pas au point de devenir narcoleptique, mais de quoi la transformer en grosse dormeuse.
Les maladies bénignes n’ont généralement pas d’effet sur elle, cela ne veut pas dire qu’elle ne peut pas tomber malade, simplement que son système immunitaire est très réactif et parvient à éradiquer les agressions rapidement. Une maladie plus grave pourrait l’affaiblir et lui demander plus de temps pour s’en remettre.
Phoibe n'a constaté aucune diminution de l'efficacité de son pouvoir. Elle ne sait pas comment elle va vieillir et c'est une chose qui l'inquiète. Elle ne voudrait pas avoir l'air éternellement jeune et surtout, elle craint que ce rythme cellulaire diminue son espérance de vie. Elle fait régulièrement des check-up médicaux, mais ils ne révèlent jamais rien d'anormal. Elle n’a jamais informé les médecins du fond de la question, cela dit… Cette évolution inconnue est source de beaucoup d’angoisses. L'avenir ou quelques recherches scientifiques lui apprendront qu'effectivement, elle vieillit tout de même (les cheveux blancs elle en aura comme tout le monde) et qu'elle ne fera pas de vieux os, son espérance de vie étant naturellement réduite d'une vingtaine d'années, soit qu'elle attendra une soixantaine d'années. Par ailleurs, son métabolisme ralentissant avec l’âge, son pouvoir sera lui aussi plus lent au fur et à mesure.
Jack O’Neill est un scientifique renommé originaire d’Irlande. En raison de ses recherches pointues, sa carrière l’a emmené en Californie. C’est dans ce pays qu’il rencontra, selon ses termes, la femme de sa vie, Elena. Ce petit bout de femme dynamique venait quant à elle de Grèce. Rapidement, leur union fut fructueuse et naquit un fils, Liam en 1982, puis une fille en 1984, Phoibe. Durant sa petite enfance, la jeune fille grandit dans une famille aimante. Tout n’était pas parfait, son père était un peu rêveur et pris par ses recherches. Ses parents s’adaptaient comme ils pouvaient à la vie américaine, mais sa mère souffrait d’une mélancolique nostalgie. Qu’importe, les enfants furent choyés et grandirent sereinement.
Sa scolarité se passa sans anicroche, à dire vrai, Phoibe était une élève appliquée et plutôt éveillée. Un peu moins brillante que son frère qui lui démontrait des talents certains pour l’ensemble des branches scolaires. Marcher dans les pas de ce petit génie ne lui causa pourtant aucun complexe. Elle s’entendait très bien avec son frère qui était son premier compagnon de jeu et de vie. Au contraire de Liam, Phoibe trouva son plaisir dans les branches sportives et ses activités extra-scolaires.
Alors qu’elle finissait son premier cycle scolaire, sa mère décida de bouleverser leur vie. Leur grand-mère maternelle déclinant, elle décida de regagner la Grèce. Son mari ne s’y opposa pas et la famille déménagea donc en Europe. Le changement fut d’une rare violence pour les bambins habitués à la vie en ville. S’ils n’étaient pas loin d’Athènes, cette ville n’avait rien à voir avec Sacramento.
Phoibe et son frère furent finalement heureux de ce changement. La jeune adolescente ne se sentait pas américaine et découvrait avec délectation la culture de sa mère. Elle adorait courir dans les sentiers de terre poussiéreuses, entendre les insectes et sentir l’odeur de la terre. De son enfance, elle ne garde que des souvenirs merveilleux. Ils voyagèrent également, revenant parfois en Amérique, parfois en Irlande dans la famille paternelle. Leur famille étant aisée, ils purent visiter l’Europe et même bien des pays asiatiques. Son père était un peu plus absent qu’avant, puisqu’il continua son travail en Amérique. Il effectuait de nombreux trajets et travaillait à distance lorsque cela était possible.
Heureusement pour elle, la particularité de Phoibe était passablement discrète. Elle ne tombait pas malade et guérissait vite, mais il ne lui arriva rien de grave qui aurait alerté qui que ce soit sur les étonnantes capacités régénératrices de son corps. Au contraire, elle fut qualifiée d’enfant fragile, car sous le coup de petites douleurs, elle avait la fâcheuse tendance de s’évanouir. Elle fut donc soigneusement couvée, mais on ne lui interdisait pas de pratiquer du sport. Au contraire, cela lui fut recommandé pour se fortifier.
Son frère, qui la devançait d’une année scolaire, entreprit des études universitaires en physique. Il marchait assurément dans les traces paternelles et était promis à un brillant avenir. Phoibe quant à elle nageait dans une incertitude la plus totale. Elle ne savait véritablement pas quoi faire de sa vie. C’est un peu par hasard, qu’elle entreprit des études en archéologie. En Grèce, les vestiges affleuraient de partout et l’histoire l’avait toujours intéressée.
Ses parents étant aisés, la jeune femme profita au maximum de cette manne. Elle effectua un doctorat et le coupla à une licence en géologie. Elle travailla sur quelques sites et participa à plusieurs recherches, sans y trouver un épanouissement total. Au risque de donner quelques cheveux blancs de plus à sa mère, Phoibe décida de s’engager dans l’armée. Curieux choix ? Certainement, il ne naissait pas d’une vocation ou d’un besoin protectionniste du pays. C’était plutôt une envie assez bête de se prouver qu’elle pouvait le faire. Une très mauvaise raison, en soi, le service militaire n’était pas aussi sexy qu’en apparence. Heureusement pour elle, Phoibe avait la tête dure et une volonté voilée de fierté mal placée qui lui permit de tenir contre vent et marée.
Elle avait 28 ans et le besoin de bousculer sa vie sage et lisse. Besoin de tester discrètement son corps étrange. Puisqu’il lui suffisait d’une nuit de sommeil pour effacer toute courbature ou inconfort physique, Phoibe était une sportive tout à fait qualifiée. Elle avait d’ailleurs hésité à devenir nageuse professionnelle, ou footballeuse, mais le déménagement avait quelque peu secoué ses rêves sportifs. Finalement, cette force de la nature s’épanouit tout à fait dans ce milieu dur et intense, au point qu’elle prolongea son séjour dans les troupes pour quatre années.
Malgré le pays plutôt ouvert dans lequel elle se trouvait, Phoibe tâcha de ne jamais être mise à jour. Enfant, elle n’en avait pas conscience, puis, il lui sembla plus prudent de ne rien dire et à personne, pas même à sa famille. Ce secret lui rongeait les sangs depuis longtemps. Le second secret qu’elle couvait, c’est que si elle ne s’était trouvé aucun petit ami… ce n’est pas pour attrister inutilement sa mère, mais bien parce que les hommes ne l’intéressaient pas le moins du monde. L’homosexualité est tolérée du bout des lèvres à bien des endroits, en Grèce malgré quelques progrès juridiques et sociétaux, ils étaient toujours très mal vus. C’est pourquoi elle se méfiait comme la peste de ces mouvements pro-dotés et de l’hypocrisie générale. Elle se protègerait et serait prudente.
Oui, Phoibe savait très bien pourquoi elle avait des chutes de tension, pourquoi elle défaillait et pourquoi son corps était capable de miracle. C’était une vérité effrayante, elle faisait partie de ces gens-là. C’est ce qu’elle avait conclu en prenant conscience que non, guérir d’une belle coupure en une nuit n’était pas normal. Elle avait d’ailleurs porté des semaines un plâtre pour rien, elle le savait aussi. Son don, taillé pour la survie, lui permit de passer outre toute forme de test. Elle bénissait les dieux, s’il y en avait, de lui avoir offert une particularité aussi discrète que la sienne.
En 2014, elle sortit donc de l’armée. Traumatisée ? Que nenni, elle avait joui de belles formations, savait se servir d’armes, se battre et avait effectué de nombreuses missions intéressantes. Elle n’avait cependant pas vécu de situation de guerre violente et avait passé plus de temps à s’entraîner qu’autre chose. Bien sûr, elle était endurcie et plus autonome, ce fut une expérience enrichissante pour elle.
Les années qui suivirent, Phoibe voyagea dans bien des pays. Ce ne fut pas forcément pour des fouilles archéologiques ou quoique ce soit afférent avec son métier initial. Elle partait, son sac sur le dos et marchait des semaines seules, le plus souvent en pleine nature sauvage. Elle aurait volontiers décidé de devenir une exploratrice de l’extrême comme un Mike Horn, s’il n’y avait pas eu ce fichu don. Oupsi, je me suis coupée, ah, mais comment vais-je pouvoir cicatriser dans l’humidité de cette jungle ?! Ah never mind, c’est déjà guéri, easy peasy. Non, vraiment, ce ne serait pas très discret …
Quand sa mère lui avait demandé pourquoi elle aimait vivre sans rien au milieu de rien et risquer sa vie, elle avait haussé les épaules, elle-même incertaine de la réponse. L’adrénaline c’est quelque chose qui me plaît, me retrouver avec moi-même, me prouver que je peux le faire… Un psy aurait certainement eu pas mal de travail avec elle. Était-ce une déviance que de toujours vouloir frôler les limites ? Au fil des années, Phoibe continua cette vie passablement nomade. Elle effectua de nombreux petits boulots. Elle vendit des piges à des journaux ou des des fruits sur des marchés, fut saisonnières de multiples fois, se transforma en videur pour une boîte... Chaque pays, chaque endroit où elle s’arrêtait était le prétexte à une nouvelle expérience.
Rien ne convenait tout à fait. Pourtant, elle n’était pas dépressive ou malheureuse. Passablement sociale, elle se faisait des connaissances partout, baragouinait bien des langues (quand on connaît les langues mortes, ça aide) et adorait découvrir de nouvelles cultures. Finalement, cherchant un peu de stabilité, elle participa à des fouilles en Amérique du Sud. Si la civilisation Tiwanaku la passionnait, elle finit par quitter l’endroit en 2019. Âgée de 35 ans, elle refit une escale en Grèce. Retrouver les pentes abruptes et les oliviers lui fit le plus grand des biens. Le climat restrictif d’Amérique latine l’avait rendu paranoïaque et tendue. Elle passa donc une année à se ressourcer, avant que la pression maternelle ne redevienne trop étouffante et l’immobilité insupportable.
Finalement, elle débarqua à Tapë Roa à l’issue d’un de ses voyages. Éternelle touriste, elle avait décidé de cette destination par curiosité. Comme beaucoup, elle en avait entendu parler et se demandait si cet endroit était vraiment si étrange ou exceptionnel ou affreux (ça dépend du point de vue). C’est donc, lunettes de soleil vissées sur le nez et clope au bec, qu’elle débarqua. (Oui, bien qu’elle fume passablement, elle possédait des poumons de jouvencelle des campagnes, jaloux ?). Évidemment, en sa qualité de voyageuse, Phoibe se fit vacciner contre le COVID auparavant, pour jouir d'un certificat, et se prêta aux formalités ad-hoc de l'île. Un coton-tige dans le nez, c'est un désagrément mineur pour avoir le droit de venir. Phoibe suivait les réglementations et les règles, même si elle estimait que tout cela était parfaitement inutile pour elle.
Étrangement, le climat lui plut, il lui semblait que l’air était un peu moins étouffant. Il semblait ici qu’on pouvait vivre librement sans hypocrisie. C’est le rêve qu’elle poursuivait au fond. Seule dans la jungle, elle était heureuse, mais il lui manquait tout de même la civilisation au bout d’un moment. Avoir quelqu'un à qui raconter ses mésaventures lorsqu'elle glissa et tomba dans une rivière ou la fois où en voulant s’orienter elle avait mis les pieds dans une fourmilière... Elle voulait avoir un endroit où revenir, un endroit où rester qu’elle pourrait appeler maison.
Quant à son occupation sur l’île, elle prit la première chose qui lui passa sous la main. Son CV fut déposé à la D.W.I Academy comme agent de sécurité et elle fut engagée à l'issue de la procédure d'embauche. Certainement son mètre quatre-vingts, sa stature athlétique et son expérience militaire qui avait convaincu plus que son joli sourire. Il faut dire, qu’elle savait être impressionnante. Son nouveau contrat signé, elle se réjouissait de pratiquer ce métier qui pour commencer lui laisserait passablement de liberté pour explorer et étudier l’île et ses habitants. La suite ? Elle n'en avait aucune idée.
- Basil HirschCo-fonda • Da Vinci Code
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Date d'inscription : 22/08/2019
Re: Phoibe O'Neill • aventurière volatile
Pour le pouvoir :
Juste une chose : pour le moment, elle ne le sait pas, et c'est tout à fait normal, mais dans le staff on a besoin de savoir si oui ou non, le don de Phoibe pourrait, à terme, diminuer son espérance de vie en échange de ces capacités de régénération hors norme ? Parce que si c'est le cas, même s'il s'agit de ne pouvoir vivre que 60 ans environ, alors tout est bon pour moi de ce côté. Sinon, il va peut-être falloir augmenter un peu les contrecoups.
Pour l'histoire :
On aurait besoin de la date à laquelle Phoibe arrive à Tapë Roa et intègre son poste à la D.W.I ! Prends en compte la situation Covid qui existe également dans notre monde (puisqu'on se base globalement sur l'actualité réelle dans notre lore).
- Précisions Covid sur l'île:
- L'île a restreint son trafic assez tôt, dès décembre 2019 (parce que Salmon et bien d'autres spécialistes dont des dotés ont flairé une embrouille). Une fermeture des frontières aux étrangers a même été pratiquée quelques mois, le temps de mettre en place des tests de température pour l'été aux aéroports qui servent de départ vers Tapë Roa, puis des tests antigéniques dès qu'ils ont été disponibles. Ainsi, en cas de doutes, les étrangers présentant des symptômes suspects sont bloqués avant d'arriver sur le territoire, et les Roans souhaitant retourner dans leur pays sont mis en quarantaine une quinzaine de jours. Grâce à cela, l'île n'a pas connu de période de confinement. Elle dispose de son propre vaccin développé par les laboratoires de la FishCorp, qui n'a pas spécialement été beaucoup commercialisé à l'étranger (hors des frontières, un vaccin développé par l'île des weirdos là, ça fait grogner les complotistes) malgré une efficacité qui n'a rien à envier à Moderna par exemple, pour des effets secondaires assez banals propres à n'importe quels vaccins. Ceux qui ne veulent pas le faire doivent faire des tests antigéniques réguliers (hors membres du gouvernement – pour l'exemple –, personnel de santé, policiers, pompiers, et personnel de la D.W.I pour qui c'est obligatoire de se faire vacciner – donc Phoibe doit être ou se faire vacciner). Globalement en somme, l'île gère bien la crise. Les précautions tels que le gel hydroalcoolique, le port du masque, et la distanciation, continuent d'exister cependant mais ne sont obligatoires qu'au sein de l'hôpital et fortement recommandé à la fac. Sans partir dans des affaires idéologiques ou whatever, c'est plus simple aussi pour nous en méta afin que les joueurs ne pâtissent pas trop d'une situation déprimante tout en restant malgré tout plutôt réalistes, dans la mesure du possible et en jouant un peu du fait qu'on reste une île de dotés avec en plus des technologies plutôt sympas.
Je crois que c'est tout ! Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à me sonner !
- Phoibe O'Neill
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Date d'inscription : 18/09/2021
Re: Phoibe O'Neill • aventurière volatile
C'est vrai que j'ai pas trop calculé le COVID dans tout ça =D
Ajout pour le pouvoir a écrit:L'avenir ou quelques recherches scientifiques lui apprendront qu'effectivement, elle vieillit tout de même (les cheveux blancs elle en aura comme tout le monde) et qu'elle ne fera pas de vieux os, son espérance de vie étant naturellement réduite d'une vingtaine d'années, soit qu'elle attendra une soixantaine d'années. Par ailleurs, son métabolisme ralentissant avec l’âge, son pouvoir sera lui aussi plus lent au fur et à mesure.
Ajout pour l'arrivée et le COVID a écrit:
Évidemment, en sa qualité de voyageuse, Phoibe se fit vacciner contre le COVID auparavant, pour jouir d'un certificat, et se prêta aux formalités ad-hoc de l'île. Un coton-tige dans le nez, c'est un désagrément mineur pour avoir le droit de venir. Phoibe suivait les réglementations et les règles, même si elle estimait que tout cela était parfaitement inutile pour elle.
- Basil HirschCo-fonda • Da Vinci Code
- Messages : 2205
Date d'inscription : 22/08/2019
Re: Phoibe O'Neill • aventurière volatile
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